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Travaux  

 

Peintures  
 Fragments recomposés, Grands Ensembles, Éclats... 1996-2002
   
"Amoncellement n’est pas le mot. Dire plutôt expansion : une fleur, un cactus, une bouteille verte, une autre mais outremer, deux ou trois citrons secs, un portrait de femme peint par Camille Corot, une carte postale représentant un puits d’extraction de minerai à Gardanne, un crâne de renard, un corps nu devant un miroir, un chiffon jaune, un galet rose, une page déchirée d’un magazine, des paquets de cigarettes, une photographie en noir et blanc représentant un homme, jeune, dansant devant un miroir, cette fois brisé, un faux pistolet automatique taillé dans un manche de scie, la réplique en terre cuite d’un cheval chinois… ou, quelques semaines auparavant, un autre crâne, ce jour-là humain, des citrons, déjà, le même Corot, “le tub” de Bonnard, un petit autoportrait en terre, la tête d’un faune en plâtre masquant une autre carte postale – Titien peut-être ? –  le même cheval chinois, noir, posé sur une boite de plaques négatives…[...] Dire, maintenant, le travail. Philippe Agostini peint par expansion. D’abord une feuille. Un carré de papier 15 cm x 15 cm dont le choix fut, avant toute autre raison, économique. Il commence au hasard. “Le motif ne construit pas l’image…Tout cela se met en place, s’organise comme une plante qui chercherait la lumière dans une pièce sombre”.

 (extraits de "Je crois qu'il peint pour voir",  texte de Vincent Cordebard )

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Pietà
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